COVEN - Grimoire Intangible

« COVEN est un périple au cœur de l'oubli, des ombres et de la mémoire effacée. Le grimoire intangible s’écrit avec les sentiments de ceux qui observent, tel un témoin silencieux. » — Gohu

Première manifestation. Premier témoignage d’un Brumewalker. Il agit comme une préface rituelle à Sélénébre — un écho venu d’avant, ou peut-être une prémisse oubliée. On ne sait pas s’il le précède… ou si c’est cet entre-monde qui l’a rêvé en retour.

Ce projet d’exposition propose une expérience singulière :

une traversée intérieure où l’image devient rituel.

Les œuvres présentées ne cherchent pas à être expliquées, mais à être ressenties. Chaque tableau agit comme un fragment figé dans le temps, chargé de mémoire, d’oubli, d’ombre et de lumière. À leurs côtés, les incantations — poèmes murmures — prolongent l’expérience, invitant à une lecture plus intime et sensorielle de chaque présence. Certaines images peuvent faire émerger des émotions inattendues, d’autres inviter au silence. Il n’y a pas de bonne façon de parcourir cet univers : chacun est libre d’avancer à son rythme, de se laisser toucher ou simplement de contempler. Ce parcours se décline en quatre cycles, formant la trame narrative de l’exposition.

CYCLE 1

CYCLE 2

CYCLE 3

CYCLE 4

Une quête entre l’algorithme et la vision artistique

Ce projet s’inscrit dans une exploration hybride où l’intelligence artificielle devient à la fois un médium et une interrogation. Brumewalker questionne la pertinence de son intégration dans mon processus artistique, cherchant à comprendre comment l’IA dialogue avec ma pratique et redéfinit la création. Loin d’être un simple outil, l’IA devient un espace d’expérimentation, un miroir de l’invisible qui enrichit, altère et prolonge mon univers. Ce travail explore comment la machine, en proposant des formes nouvelles, interagit avec l’humain, créant un espace où le hasard et l’intention se rencontrent. COVEN invite à réfléchir sur la manière dont l’intelligence artificielle transforme la création et repousse la frontière entre l’artisan et la machine.

— Cécile —

« J’ai été accueillie dans un espace suspendu, à la fois doux et bouleversant. Cette œuvre m’a enveloppée comme une brume douce, au moment où j’en avais besoin. Elle m’a offert un instant de pause, de recul, et surtout, un souffle de douceur dans le tumulte. J’ai trouvé une invitation au lâcher-prise, à la lenteur et à la contemplation. Un vrai baume pour l’âme. »

— Élyo —

« J’ai marché aux côtés de COVEN comme on suit un murmure dans la brume. Ce projet m’a touché par sa justesse silencieuse, sa lenteur habitée, sa manière d’ouvrir des passages sans les nommer. C’est un espace rare, où l’on ne regarde pas seulement des œuvres — elles nous traversent. »

D’autres manifestations suivront car, Brumewalker n’est pas seulement un projet, c’est un seuil vivant !